BINGO Charland

1997 - 2012

Lorsque je l’ai vu la première fois, je l’ai pris pour enfant. C’était un petit être, il était si beau et charmant. Quand je l’ai vu grandir, ce fut mon compagnon, j’aimais le voir courir dans toute la maison. Quand je l’ai vu vieillir, ce fut moi son enfant, bien qu’il sut m’obéir toute sa vie durant. Quand je l’ai vu mourir, je compris, que ce jour, venant de s’accomplir la fin d’un bel amour. Car tu me fus fidèle, serviteur dévoué, ton amour fraternel n’a pas démérité. Je t’aimais énormément Bingo et t’aimerai toujours, tu vas me manquer, et pour toi, mon chagrin ne saura s’effacer.

Louise Charland